Un enseignant de l’école primaire privée Al Badr (liée à l’UOIF) a été mis en garde à vue hier pour des raisons troubles, lors de la visite d’inspecteurs du travail et de policiers. Nous ne connaissons que la version du site salafiste Islam et Info. Il est possible que la police ait abusé de son pouvoir, comme peuvent l’ expérimenter aussi des Français qui aiment leur pays. Révélatrice est la réaction du compte Facebook officiel du Groupe scolaire Al-Badr , tirant son nom de la première victoire armée de Mahomet, qui attaqua une caravane de commerçants mecquois en 624.
Le fond de la pensée des responsables de cette école, qui n’aurait jamais dû ouvrir vu son orientation salafi, est exprimée de manière claire: Il est normal de détester la France, c’est si compréhensible.
Dans une conférences filmées sur l’engagement du musulman l’imâm Rahhaoui qui gère l’école rappelle l’existence de trois cas licites pour faire couler le sang d’un homme. Les spécialistes connaissent très bien le « hadith » auquel il fait allusion, qui autorise de tuer l’auteur d’adultère, le meurtrier et… l’apostat. (14 ème hadith rapporté par Nawâwi)
La musique y est apparemment interdite, on ne comprend donc pas comment ils peuvent respecter les programmes scolaires français :
Ouverte à la rentrée 2013, l’école fut l’objet d’un sujet de France 3 en 2012 :