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21 avril 2016 | Collaboration

La sourate Fatihâ psalmodiés à la cathédrale de Lyon sur invitation du cardinal Barbarin

barbarinIslamLu sur Dreuz, par la plume d’un témoin de la soirée :

Le 3 avril 2016, dimanche de la Miséricorde, s’est déroulé en la cathédrale St-Jean de Lyon une messe présidée par le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon et Primat des Gaules.

La cathédrale était archi comble des différentes communautés de réfugiés, notamment syriennes et irakiennes chrétiennes de Lyon, conviées en tant que « migrants » afin de « partager un temps de prière commune ».

Le diocèse de Lyon explique dans un communiqué :

« Cet événement veut témoigner de l’engagement du diocèse pour l’accueil et l’accompagnement des familles contraintes de fuir leur pays, un témoignage d’espérance dans notre contexte socio-politique ». (…)

Dès les débuts de son homélie, et au nom du sempiternel dialogue interreligieux, le cardinal fit bien entendu comme régulièrement depuis des années référence au coran, à cette notion de miséricorde dans l’islam et au verset introductif de la quasi totalité des sourates « Au nom d’Allah, le tout miséricordieux, le très miséricordieux », pour nous convaincre que la religion islamique est « doublement miséricordieuse » (ses mots dans l’homélie). Vraiment ?

Après son homélie, plusieurs témoignages émouvants de réfugiés furent prononcés. Dans la foulée, une jeune femme voilée, lyonnaise musulmane, a récité la Fatiha au micro, au sein de la cathédrale (lire : La Fatiha et la culture de la haine).(…)

Cet incident de la Fatiha récitée dans une cathédrale s’est répété intentionnellement le lendemain lors de la célébration de la fête de l’Annonciation, le 4 avril, dans un sanctuaire lyonnais en l’église de Notre-Dame-du-Liban, juste après le Notre Père chrétien. Il faut avouer que cela fait désordre, d’autant plus qu’en ouverture de ce « rendez-vous interreligieux à la fois spirituel et festif », le muezzin a appelé à la prière (le Adhan) :

« Allah est le plus grand. J’atteste qu’il n’y a de dieu qu’Allah. J’atteste que Muhammad est le messager d’Allah. Venez à la prière, venez à la félicité. La prière est meilleure que le sommeilAllah est le plus grand. Il n’y a de vraie divinité hormis Allah ».

Tout est dit et son contraire !

Exit juifs, chrétiens et autres « mécréants » de cette prétendue miséricorde coranique louée par le cardinal et sous ses clochers, sachant, par ailleurs, que le pardon et la miséricorde d’Allah sont seulement donnés à ceux qui se tournent vers l’islam (Sourate 5, Hégirienne, « La table servie » ou « Le banquet », versets 34-37). Les ouvrages musulmans rapportent que même Mahomet n’a pas été autorisé à demander la miséricorde d’Allah pour sa propre mère parce qu’elle était morte mécréante. Lire l’article intégral sur Dreuz.info