Lu dans Le Monde du 20 janvier:
« Considérée comme un lieu de « polarisation » de la mouvance djihadiste par les services de renseignement, la mosquée Al- Rawda n’a pas été jugée apte, en l’état, d’empêcher le retour de ce type de fidèles dans ses murs : « On ne peut aujourd’hui être certain que le risque de la fréquentation de cette mosquée par la mouvance salafiste a disparu », a écrit dans un communiqué la plus haute juridiction administrative.
Lors de la décision de fermeture d’Al-Rawda, la mosquée avait effectivement pour imam principal un jeune homme de 30 ans, Hatim Roinzo, proche de la mouvance salafiste. D’après diverses notes des services de renseignement, il incitait au djihad « en aparté », ou appelait à faire des « douas » (invocations) pour les « frères syriens », considérés comme des allusions aux combattants de l’EI. Chose dont Salih Attia assurait cependant ne pas être au courant. Lire la suite sur Le Monde