Un rapport officiel de 29 pages riches en cartes (photo) rendu public le 24 octobre 2014 par la police suédoise recense 55 zones de non droit où police et pompiers ne peuvent entrer sans susciter de violentes réactions, les pompiers et ambulances se faisant systématiquement escorter. Le rapport mentionne des check-point matérialisés par des véhicules de surveillance à l’entrée de ces zones. Les gangs étrangers sont cités comme étant les gestionnaires de ces zones. Exemple parmi d’autres, une voiture de police poursuivant des délinquants s’est faite attaquée en mai 2014 par 50 individus hostiles ayant extrait les forces de l’ordre par la force. Le commandement central de la police refusa d’envoyer des renforts pour ne pas déclencher une guerre. Les policiers furent relachés après négociations.
La carte des 55 « no go zones » (zones de non droit) s’insère dans celle des 186 ghettos ethniques à dominance musulmane déjà recensés rapporte The Sweden Report rappelant leur multiplication due à une immigration de 200 000 nouveaux étrangers s’installant durablement chaque année.
Les émeutes violentes de 2013 ont abouti à des mesures d’adaptation au terrain, comme des unités de « dialogue » avec les riverains de ces zones. L’académie de police de Stockolm réagit en mettant en place un cursus de sensibilisation aux cultures étrangères afin d’établir un dialogue interculturel rapporte The Daily Caller du 2 novembre.
Observatoire de l’islamisation. Novembre 2014