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15 juin 2020 | Actualités, Allemagne

La mosquée co financée par l’UE à Duisbourg en 2006 se trouve au centre d’un môle djihadiste en 2020

Mosquée du quartier de Marxloh à Duisbourg

Lu dans le média allemand RP Online du 12 juin, traduction par Fdesouche.com

« Marxloh est notre quartier »

Environ 2700 membres de clans d’origine arabe vivent à Duisbourg [Rhénanie-du-Nord-Westphalie] selon un rapport de police; ces dernières années, quelque 600 d’entre eux ont commis des délits, certains à plusieurs reprises. Ces clans se concentrent dans un petit nombre de quartiers, en particulier à Marxloh [20 000 habitants].

[…]

Depuis l’arrestation de S. [auteur de 75 délits, arrêté dans une cage d’escalier malgré la présence d’une foule bruyante et agressive], « il semble que Marxloh et ses environs soient à nouveau en ébullition », dit-on du côté des enquêteurs. Pourtant, la tactique policière de la tolérance zéro porte ses fruits […] De 24 jours de désordres en 2017, on est tombé à 11 en 2018 et à 4 l’an passé […] Mais dans les jours qui ont suivi l’arrestation dans la cage d’escalier, il y a eu 2 jours de désordres […] le 19 mai et le 28 mai.

Le 22 mai […], la direction de la police de Duisbourg reçoit un courriel contenant une menace d’attentat et l’avertissement de se retirer de Marxloh. « Objet : Allah Akbar, Marxloh est notre quartier. […] Nous interdisons à tous les mécréants d’entrer dans notre quartier. Nous chasserons par la force des armes ou nous tuerons tous les policiers, journalistes et autres mécréants. Chez nous, c’est la charia radicale qui est en vigueur », peut-on lire dans cet écrit. « Nous nous sommes procuré en Turquie et en Russie 2000 fusils d’assaut AK-47 avec suffisamment de munitions. Allah Akbar, tuez tous les mécréants. » […] Les autorités chargées de l’enquête prennent manifestement ces menaces au sérieux. […] RP Online

Pourtant Le Figaro du 25.09.09, titrait : La « mosquée de verre »qui séduit l’Allemagne

« En Allemagne, la petite ville de Duisbourg, où s’est construite l’une des plus grandes mosquées d’Allemagne, est désormais le symbole d’une intégration réussie.

C’est ce que l’on appelle le «miracle de Duisbourg». En octobre dernier, dans un quartier ouvrier de cette petite ville de la Ruhr, a été inaugurée l’une des plus grandes mosquées d’Allemagne. Sans aucune protestation du voisinage ni aucune manifestation xénophobe. Depuis un an, le «miracle» perdure : l’exemple de la mosquée de Marxloh est devenu un cas d’école pour de nombreuses autres municipalités allemandes, confrontées aux mêmes problèmes d’immigration. »

Ce qu’il faut savoir est que, ainsi que nous le rapportions dans le livre de référence L’islamisation de la France paru en 2006 :

 » A Marxloh, quartier de Duisburg, Bruxelles a participé au financement de la plus grande mosquée d’Allemagne : minaret de 34 mètres, surface de 2474m2, dont l’espace dit « culturel » de formation est financé pour moitié par les contribuables européens. D’un coût de 7,7 millions d’euros, cette partie comprenant classes, bibliothèque, salles de réceptions, malgré son coût astronomique, a été donc largement soutenue par les hauts fonctionnaires bruxellois de manière anti-démocratique, comme toujours avec les instances de l’UE. »

Plus grave, cette mosquée est directement gérée par la Turquie, appartenant au DITIB, organisation en Europe du ministère des Affaires religieuse de la dictature islamiste.

Aussi, en janvier 2013 le député européen du Vlaams Belang Philip Claeys alerta que l’Union européenne donne de l’argent pour des mosquées turques située dans le Nord de Chypre, occupé par la Turquie. L’UE est en quelque sorte l’anti Europe.

Lors de l’inauguration de la mosquée de Duisburg en 2008, L’Express écrivait :

« Construit dans le quartier très populaire de Marxloh, l’édifice a été inauguré le 26 octobre. En présence, naturellement, de Jürgen Rüttgers, ministre-président du Land, la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, et de toutes les « huiles » locales, y compris le curé et le pasteur de l’arrondissement. (…)Même le père Michael Kemper, le prêtre de la paroisse Saint-Pierre, dont le clocher se situe à moins de 500 mètres du minaret, au bout d’une rue bordée d’étroites maisons ouvrières de briques rouges, en soupire d’aise: « Je suis heureux d’assister enfin à l’inauguration de « notre » mosquée, glisse-t-il, entre deux gorgées de bière. Car ce projet est aussi le nôtre. »